La solidarité
a toujours été la principale arme de l’Etat-providence
oppresseur. Même si ce n’est plus la « solidarité de classe » qui est
invoquée (faillite du marxisme !),
la solidarité reste le meilleur prétexte à oppression et à spoliation, via taxes et
prélèvements « sociaux ».
Depuis quelques décennies, une nouvelle arme, plus douce en
apparence, mais très efficace, est apparue : l’environnement. La « lutte
contre la pollution » étant quelque peu une affaire du passé, de nouvelles
lubies sont venues conforter les spoliateurs, la principale étant évidemment le
prétendu réchauffement
climatique, qui permet d’opprimer ceux qui ont un véhicule, ceux qui ont un
logement – et même ceux qui ne mangent pas correctement ! Arriver à faire
passer le CO2 pour un poison très dangereux fait partie des
réussites incontestables du plan escrologique !
Et depuis 2020, l’Etat s’essaie – avec succès – à une toute
nouvelle arme : la santé,
prétexte à diverses coercitions,
suite à l’apparition d’un virus presque banal. Après la religion solidariste,
puis la religion écologiste, nous avons droit à la religion covidiste, dont il
convient de rappeler les 4 dogmes (selon Patrick de Casanove : Comment
le covid est devenu un outil de pouvoir) :
- le
covid est une épidémie très grave mettant chacun en danger ;
- il
n’y a pas de traitement précoce efficace ;
- les
mesures de contrainte sont nécessaires et incontournables ;
- la
vaccination est la seule planche de salut pour revenir au monde d’avant.
Il ne suffisait plus que les concombres soient masqués, il fallait qu’ils soient vaccinés, et doublement, et triplement, etc. Comme on sait que "∀n, n < n + 1", la nième dose ne suffira jamais, et cette pandémie d’origine politique n’aura pas de fin.
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