- Les hommes de l’État décident en toute irresponsabilité et dépensent à tous vents, ce ne sont pas eux qui paieront les dégâts / la facture.
- Les citoyens ne craignent pas le surendettement de l’État, comme cela se trouve réparti sur un grand nombre de contribuables, ils espèrent en tirer plus de bénéfices (État-providence) que de coûts (impôts pour rembourser la dette).
- Les
créanciers et banquiers ne craignent pas de prêter à des insolvables,
ils ont comme caution surtout l'argent des déposants, et les hommes de
l’État viendront s'il le faut à la rescousse avec le "too big to
fail"...
- Les banques centrales ne craignent pas de faire marcher la planche à billets pour que le jeu de chaises musicales continue jusqu'à l'effondrement final. Il n'y a rien que la fausse monnaie ne puisse régler - au moins à court terme.
- Les banques centrales ne craignent pas de faire marcher la planche à billets pour que le jeu de chaises musicales continue jusqu'à l'effondrement final. Il n'y a rien que la fausse monnaie ne puisse régler - au moins à court terme.
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